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correspond aux montants d'indemnisations dus aux victimes ou aux assurés majorés des coûts externes liés aux dossiers (experts, avocats,…). On parle de charge cumulée des sinistres dès lors que celle-ci est agrégée à une échelle spatiale (territoire, marché ou portefeuille) ou temporelle (sur plusieurs exercices). Selon le contexte, on ne considère que les montants constitués dans les dossiers (règlements et provisions pour sinistres à payer) ou on y ajoute des provisions complémentaires établies sur des lois statistiques. Selon les cas, cette information peut être présentée brute ou nette de recours, brute ou nette de réassurance

Accumulation littorale formée de galets et étirée en cordon, donc avec une pente vers la mer et une contre-pente sur le revers. Le cordon de galets constitue le plus souvent la partie haute d'un estran essentiellement sableux. Il protège souvent des aires basses comme des lagunes ou des marais.

Mouvement rapide d'une masse de matériaux remaniés, à forte teneur en eau et de consistance plus ou moins visqueuse. Elle prend fréquemment naissance dans la partie aval d'un glissement de terrain ou dans les terrains mis à nu par les activités humaines. Les matériaux susceptibles de perdre ainsi leur cohésion sont des argiles, des limons, des sols, des roches décomposées ou des éboulis fins.

Tout chenal superficiel ou souterrain dans lequel s'écoule un flux d'eau continu ou temporaire. Il existe différents types de cours d'eau : la rigole, le ru ou ruisselet, le ruisseau, le torrent, la rivière, le fleuve.

Comission de validation des données pour l'information Spatialisée. Commission interministérielle validant les standards de données communs aux ministères en charge de l'agriculture et de l'écologie.

relief circulaire négatif (cratère en «entonnoir») formé par des explosions volcaniques successives provoquées par la rencontre -en profondeur- entre du magma ascendant et une poche d'eau (ex: nappe phréatique).

Le terme de crise désigne une période de tension potentiellement conflictuelle ou une situation de déséquilibre grave ou de rupture préoccupante, généralement accompagnée d'une couverture médiatique plus ou moins intense : crise politique, économique, sociale ou sanitaire. La notion de crise recouvre aussi fréquemment les situations que peuvent engendrer des catastrophes naturelles ou technologiques.
Longtemps considérée comme un événement soudain et inattendu, la crise est parfois le résultat d'un processus long, pas toujours perceptible, qui traduit un dysfonctionnement structurel. Elle se caractérise par sa cinétique lente, rapide ou variable. La crise est donc bien à comprendre comme un phénomène dynamique et non statique.
Dans un environnement en continuelle mutation, les typologies de crises sont aussi complexes que variées. Elles peuvent être d'origine naturelle, technologique, sanitaire ou sociale. (voir Gestion de crise)

Période de hautes eaux, de durée plus ou moins longue, consécutive à des averses plus ou moins importantes.

Perturbation atmosphérique tourbillonnaire, de grande échelle, due à une chute importante de la pression atmosphérique. On la rencontre dans les régions tropicales : elle est caractérisée par des pluies diluviennes et des vents très violents (jusqu'à 350 km/h), tournant dans le sens des aiguilles d'une montre (hémisphère sud) ou dans le sens inverse (hémisphère nord) ; les vents les plus violents se rencontrent autour de l'oeil, qui est une zone de calme.
Les cyclones sont des phénomènes de grande échelle (jusqu'à 1000 km de diamètre), susceptibles de parcourir des distances considérables pendant plusieurs semaines.
Cyclone est un terme générique. En fonction de la localisation géographique, il peut également être appelé ouragan ou typhon.

Un danger est toute source potentielle de dommage, de préjudice ou d'effet nocif à l'égard d'une chose ou d'une personne.C'est un état qui correspond aux préjudices potentiels d'un phénomène sur les personnes.
Contrairement au risque, le danger existe indépendamment de la présence humaine. Le danger de noyade, par exemple, est inhérent aux inondations et aux raz-de-marée, celui d'ensevelissement aux avalanches, et celui d'écrasement à une chute de bloc ou à un éboulement. Son niveau est fonction de la probabilité d'occurrence de ce phénomène et de sa gravité.