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Mot d'origine indonésienne désignant un type particulier de lave torrentielle constitué d'un mélange d'eau et de matériau pyroclastique (cendres volcaniques notamment). Par extension : lave torrentielle présentant un comportement similaire aux lahars.

Amortissement d'une crue avec diminution de son débit de pointe et étalement de son débit dans le temps, par effet de stockage et de déstockage dans un réservoir.

Transformation momentanée, sous l'effet d'un séisme, de sols saturés (en eau) ayant une capacité portante avant séisme en des sols ayant un comportement semblable à un fluide sans capacité portante pendant le séisme.

Espace occupé temporairement par les rivières lors du débordement des eaux en période de crues.

Espace occupé en permanence par une rivière. On distingue parfois le lit d'étiage, qui correspond aux plus basses eaux et le lit moyen, qui correspond aux valeurs habituelles du débit.

Le littoral est la bande de terre constituant la zone comprise entre une étendue maritime et la terre ferme, le continent, ou l'arrière-pays.

La lutte permet d'agir sur le phénomène en temps réel. Elle complète la prévention.

Liquide qui se forme par fusion partielle du manteau terrestre (ou, plus rarement, de la croûte superficielle). Ce liquide, plus ou moins riche en gaz dissous, peut atteindre une température de 1300 °C en profondeur. Ses caractéristiques, et notamment sa viscosité, conditionnent le type d'éruption.

Paramètre global caractérisant l'énergie générée par un séisme, suivant les principes initialement proposés par C. Richter (1935), d'où le nom de Richter couramment donné à cette mesure. La magnitude peut être corrélée avec des grandeurs physiques associées à la source sismique, comme la taille du plan de faille par exemple. Elle n'a pas de limite théorique supérieure ou inférieure.

qui provient du manteau terrestre, la vaste couche du globe terrestre située entre la croûte (en surface) et le noyau (au centre).