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L'application Gaspar (gestion assistée des procédures administratives relatives aux risques naturels) de la Direction générale de la prévention des risques est l'épine dorsale de son système d'information sur les risques naturels.
La base Gaspar réunit des informations sur les documents d'information préventive ou à portée réglementaire : PPR, procédures de type «reconnaissance de l'état de catastrophes naturelles», documents d'information préventive (documents communaux synthétiques, atlas des zones inondables).

Elle correspond à l'ensemble des modes d'organisation, des techniques et des moyens qui permettent la préparation et la mise en œuvre de la réponse des pouvoirs publics visant à maîtriser une situation de crise, d'en entraver le développement, d'en limiter les conséquences, d'en réparer les effets, d'assurer les conditions du retour à une situation normale puis, in fine, d'en tirer les enseignements sur la manière dont elle a été conduite. Elle se caractérise généralement par un certain degré d'adaptation face à des événements ou effets imprévisibles, par des actions menées et des décisions prises sous délais contraints. Elle impose d'acquérir une vision claire et objective de la situation, des enjeux et des conséquences à court et moyen terme. Elle se traduit généralement par la mise en œuvre de plans de secours.

Expression de la répartition en différentes classes de dimension des granulats (argiles, silts, sables, graviers, blocs) constituant un lit torrentiel ou transportés par un écoulement.

Secousse sismique plus faible succédant au choc principal, à proximité de son foyer.Les répliques décroissent généralement en nombre et en magnitude avec le temps.

L'Acteurs nationaux de la gestion des risques a mis en place un réseau des observatoires des risques naturels qui a pour objectif de :

- Permettre une connaissance mutuelle
- Dialoguer autour de besoins communs
- Partager les travaux réalisés, les valoriser
- Faciliter l'accès aux données
- Echanger les bonnes pratiques
- Mutualiser la production d'outils et de méthodes
- Créer des synergies
L'annonce de la mise en réseau de ces observatoires a été effectuée lors de la conférence organisée par l'Acteurs nationaux de la gestion des risques avec les observatoires régionaux aux ANRN en mars 2016.

Observatoire

Ensemble des éléments naturels (rivières) ou artificiels (réseau), drainant un bassin versant.

Fossé d'effondrement limité de part et d'autre par des bords surélevés, avec une activité volcanique plus ou moins forte.

Probabilité qu'un effet spécifique se produise dans une période donnée ou dans des circonstances déterminées. En conséquence, un risque se caractérise selon deux composantes :
- la probablité d'occurence d'un événement donné,
- la gravité des effets ou conséquences de l'événement supposé pouvoir se produire.

Risque lié à un aléa d'origine naturelle ou anthropique dont les effets prévisibles mettent en jeu un grand nombre de personnes, des dommages importants et dépassent les capacités de réaction des instances directement concernées.Ainsi par exemple, un aléa « fort » intervenant dans un désert (enjeu faible) correspond à un risque faible. Les risques, et plus particulièrement ceux qui sont qualifiés de majeurs, représentent une menace grave pour une société.

C'est un événement dommageable, doté d'une certaine probabilité, conséquence d'un aléa survenant dans un milieu vulnérable. Le risque résulte, donc, de la conjonction de l'aléa et d'un enjeu, la vulnérabilité étant la mesure des dommages de toutes sortes rapportés à l'intensité de l'aléa. À cette définition technique du risque, doit être associée la notion d'acceptabilité pour y intégrer sa composante sociale.