Affiner ma recherche

30 Résultats

11 - 20 sur 30

relief circulaire négatif (cratère en «entonnoir») formé par des explosions volcaniques successives provoquées par la rencontre -en profondeur- entre du magma ascendant et une poche d'eau (ex: nappe phréatique).

Le terme de crise désigne une période de tension potentiellement conflictuelle ou une situation de déséquilibre grave ou de rupture préoccupante, généralement accompagnée d'une couverture médiatique plus ou moins intense : crise politique, économique, sociale ou sanitaire. La notion de crise recouvre aussi fréquemment les situations que peuvent engendrer des catastrophes naturelles ou technologiques.
Longtemps considérée comme un événement soudain et inattendu, la crise est parfois le résultat d'un processus long, pas toujours perceptible, qui traduit un dysfonctionnement structurel. Elle se caractérise par sa cinétique lente, rapide ou variable. La crise est donc bien à comprendre comme un phénomène dynamique et non statique.
Dans un environnement en continuelle mutation, les typologies de crises sont aussi complexes que variées. Elles peuvent être d'origine naturelle, technologique, sanitaire ou sociale. (voir Gestion de crise)

Période de hautes eaux, de durée plus ou moins longue, consécutive à des averses plus ou moins importantes.

Perturbation atmosphérique tourbillonnaire, de grande échelle, due à une chute importante de la pression atmosphérique. On la rencontre dans les régions tropicales : elle est caractérisée par des pluies diluviennes et des vents très violents (jusqu'à 350 km/h), tournant dans le sens des aiguilles d'une montre (hémisphère sud) ou dans le sens inverse (hémisphère nord) ; les vents les plus violents se rencontrent autour de l'oeil, qui est une zone de calme.
Les cyclones sont des phénomènes de grande échelle (jusqu'à 1000 km de diamètre), susceptibles de parcourir des distances considérables pendant plusieurs semaines.
Cyclone est un terme générique. En fonction de la localisation géographique, il peut également être appelé ouragan ou typhon.

Les activités de l'IFSTTAR portent sur :

les inondations : crues soudaines ;
le risque sismique (observation, modélisation) ;
la géotechnique (ingénierie, construction, méthodes…) : chutes de blocs, cavités ;
la sécheresse : retrait-gonflement des argiles (projet ARGIC II).
C'est un organisme de recherche, de développement et d'appui aux politiques publiques.

http://www.ifsttar.fr/accueil/

Etat

L'Institut national de l'information géographique et forestière (IGN), créé en 2012, reprend en les complétant les missions des deux établissements dont il est issu : l'Institut géographique national (ex IGN) et l'Inventaire forestier national (IFN).

L'IGN est l'opérateur public de référence pour l'information géographique et forestière. Producteur et diffuseur de référentiels faisant autorité, de données géographiques multithématiques, il est également fournisseur de services d'utilisation des données. L'IGN intervient en appui d'autorités publiques pour contribuer à l'analyse des territoires, faciliter la mise en œuvre des projets d'aménagement et de développement durable comme l'application des réglementations.
Lien vers Géoportail

http://www.ign.fr/

Etat

Installation nucléaire de base. Installation soumises, de par sa nature, ou en raison de la quantité ou de l'activité des substances radioactives qu'elle contient, est soumise à la loi du 13 Juin 2006 (dite Loi TSN). Ces installations doivent être autorisées par décret pris après enquête publique et avis de l'ASN. Leur conception, construction, exploitation (en fonctionnement et à l'arrêt) et démantèlement sont réglementés.

Réaliser ou faire réaliser des études et des recherches permettant de prévenir les risques que les activités économiques font peser sur la santé, la sécurité des personnes et des biens ainsi que sur l'environnement, et de fournir toute prestation destinée à faciliter l'adaptation des entreprises à cet objectif. Cet institut a travaillé pendant plusieurs décennies sur les risques liés à l'exploitation du sol et du sous-sol. Ses principales activités concernent : la prévention des risques naturels, et plus particulièrement les risques gravitaires, la sécurité de minière, après-mines, le stockage souterrain. Il contribue en partenariat avec différents organismes à l'alimentation de la base de données cavités gérée par le BRGM et mise en ligne sur internet (www.cavites.fr). Ce projet participe à la mutualisation des savoirs et la valorisation des retours d'expérience.

https://www.ineris.fr/fr

Etat

La loi du 30 juillet 2003 relative à la prévention des risques technologiques et naturels et à la réparation des dommages a créé dans son article 77, codifié à l'article L.125-5 du Code de l'environnement, une obligation d'information de l'acheteur ou du locataire de tout bien immobilier (bâti et non-bâti) situé en zone de sismicité ou/et dans un plan de prévention des risques prescrit ou approuvé. À cet effet sont établis directement par le vendeur ou le bailleur :
- un état des risques naturels et technologiques pris en compte par ces servitudes, à partir des informations mises à disposition par le préfet de département;
- une déclaration sur les sinistres ayant fait l'objet d'une indemnisation consécutive à une catastrophe reconnue comme telle.

L'objet de l'information préventive est de renseigner la population sur les risques qu'elle encourt dans le cadre de ses différents lieux de vie et d'activité. En lui permettant de connaître les dangers auxquels elle est exposée, l'information préventive contribue à préparer le citoyen en cas de réalisation du risque à adopter un comportement responsable.
L'article L.125-2 du Code de l'environnement dispose que : « Les citoyens ont un droit à l'information sur les risques majeurs auxquels ils sont soumis dans certaines zones du territoire, et sur les mesures de sauvegarde qui les concernent. Ce droit s'applique aux risques technologiques et aux risques naturels prévisibles ».
Le décret n°90-918 du 11 octobre 1990, modifié par le décret n°2004-554 du 9 juin 2004, définit les conditions d'exercice du droit à l'information. Il fixe le contenu et la forme des informations auxquelles doivent avoir accès les personnes susceptibles d'être exposées à des risques majeurs, ainsi que les modalités selon lesquelles ces informations seront portées à la connaissance du public. Ce décret détermine également les acteurs de l'information préventive, et les modalités de l'affichage.
L'information doit être effectuée :
- dans les communes dotées d'un plan particulier d'intervention (PPI = plan de secours),
- dans les communes dotées d'un plan de prévention des risques (PPR),
- dans les communes situées dans des zones à risque sismique, volcanique, cyclonique ou de feux de forêts,
- dans les communes désignées par arrêté préfectoral en raison de leur exposition à un risque majeur particulier.