Affiner ma recherche

31 Résultats

21 - 30 sur 31

activité sismique correspondant à la survenue de nombreux séismes au sein d'une zone géographique délimitée, et sur une longue période de temps (plusieurs semaines à mois) 

Elle exploite les archives disponibles et les témoignages ; elle permet de décrire l'évènement historique pouvant servir de référence, c'est-à-dire celui qui a donné la plus forte extension et/ou qui fut le plus dommageable.

L'étude hydraulique étudie le transfert et le transport des écoulements d'eau dans le réseau hydrographique. Elle permet, avec l'analyse hydrologique de cerner les mécanismes de génération des crues.

L'étude hydrologique consiste à définir les caractéristiques des crues de différentes périodes de retour (débits, durées, fréquences). Elle est basée sur la connaissance des chroniques de débit sur la rivière, relevées aux stations hydrométriques et enrichies des informations sur les crues historiques. Des changements significatifs dans l'occupation de l'espace sur le bassin versant (forte urbanisation, reboisement important, etc.) ou des aménagements lourds en amont (barrages écrêteurs de crues) sont susceptibles de modifier le régime des crues (en particulier les crues moyennes) et peuvent nécessiter une actualisation d'études hydrologiques antérieures.

C'est la manifestation d'un phénomène dont les conséquences dommageables sont observables et mesurables.

point de sortie du magma au cours d'une éruption donnée

Une tempête correspond à l'évolution d'une perturbation atmosphérique, ou dépression, pouvant s'étendre sur une largeur atteignant 2 000 km et le long de laquelle sont confrontées deux masses d'air aux caractéristiques distinctes (température, teneur en eau). De cette confrontation naissent notamment des vents pouvant être très violents. On parle de tempête lorsque les vents dépassent 89 km/h (soit 48 nœuds – degré 10 de l'échelle de Beaufort).

Pourcentage en masse d'eau contenue dans un matériau. Le complément à 100% de la teneur en eau est la siccité.

C'est une technique de représentation sur un plan des formes du terrain avec les détails naturels et artificiels. En matière de prévention des risques, l'étude de la topographie des lieux donne des éléments sur sa susceptibilité à l'aléa, en particulier à l'aléa inondation.

Les torrents sont des cours d'eau à pente forte (supérieure à 6 %) présentant des débits irréguliers et des écoulements très chargés. Ils sont générateurs de risques d'inondation accompagnée d'érosion et d'accumulations massives qui justifient une adaptation soignée de la détermination des aléas et des prescriptions. Dans un même torrent, on peut rencontrer les formes d'écoulement suivantes : des laves torrentielles, des écoulements hyper concentrés, des écoulements chargés simples (charriage et suspension classiques), des eaux claires. La rapidité des crues et des débordements rend l'alerte très difficile, sinon impossible. Les rivières torrentielles constituent une catégorie de cours d'eau intermédiaire entre les torrents et les rivières. Leurs pentes étant de quelques unités pour cent, elles peuvent être le siège d'écoulements hyper-concentrés mais pas de laves torrentielles. On peut donc observer sur les rivières torrentielles les phénomènes suivants : crues et débordements rapides rendant l'alerte très difficile, affouillements intenses et/ou apports solides massifs dans le lit mineur et/ou sur le fond de vallée, ces phénomènes contraires pouvant se succéder au même endroit au cours d'une seule crue, et pouvant entraîner des déplacements du lit mineur dans le fond de la vallée.