Zone de contact entre des espaces naturels combustibles et des systèmes urbains.
L'institut de physique du globe de Paris est un grand établissement d'enseignement supérieur et de recherche associé au CNRS et membre du PRES Sorbonne Paris Cité.
L'organisme de recherche IRSTEA, anciennement le Cemagref, privilégie une approche pluridisciplinaire et systémique sur trois domaines : l'eau, les écotechnologies et les territoires.
Région de formation calcaire caractérisée par la prépondérance du drainage souterrain et par le développement d'une topographie originale due à la dissolution de la roche (gouffres, résurgences, etc.).
formes d'érosion spécifiques dues à la dissolution des massifs calcaires par les eaux souterraines et caractérisées notamment par des galeries souterraines, des grottes, des avens.
Mot d'origine indonésienne désignant un type particulier de lave torrentielle constitué d'un mélange d'eau et de matériau pyroclastique (cendres volcaniques notamment). Par extension : lave torrentielle présentant un comportement similaire aux lahars.
Amortissement d'une crue avec diminution de son débit de pointe et étalement de son débit dans le temps, par effet de stockage et de déstockage dans un réservoir.
Transformation momentanée, sous l'effet d'un séisme, de sols saturés (en eau) ayant une capacité portante avant séisme en des sols ayant un comportement semblable à un fluide sans capacité portante pendant le séisme.
Espace occupé temporairement par les rivières lors du débordement des eaux en période de crues.