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Mot d'origine indonésienne désignant un type particulier de lave torrentielle constitué d'un mélange d'eau et de matériau pyroclastique (cendres volcaniques notamment). Par extension : lave torrentielle présentant un comportement similaire aux lahars.

Amortissement d'une crue avec diminution de son débit de pointe et étalement de son débit dans le temps, par effet de stockage et de déstockage dans un réservoir.

Transformation momentanée, sous l'effet d'un séisme, de sols saturés (en eau) ayant une capacité portante avant séisme en des sols ayant un comportement semblable à un fluide sans capacité portante pendant le séisme.

Espace occupé temporairement par les rivières lors du débordement des eaux en période de crues.

Espace occupé en permanence par une rivière. On distingue parfois le lit d'étiage, qui correspond aux plus basses eaux et le lit moyen, qui correspond aux valeurs habituelles du débit.

Le littoral est la bande de terre constituant la zone comprise entre une étendue maritime et la terre ferme, le continent, ou l'arrière-pays.

La lutte permet d'agir sur le phénomène en temps réel. Elle complète la prévention.

Toute étendue d'eau souterraine ou superficielle. On distingue : - les nappes d'eau libre : étendues d'eau en contact permanent avec l'atmosphère; - les nappes souterraines : étendues souterraines, parties saturées d'un aquifère; - les nappes phréatiques : nappes d'eau libre souterraines à faible profondeur; - les nappes alluviales (ou nappe d'accompagnement de cours d'eau) : nappes d'eau en relation directe avec un fleuve ou une rivière; - les nappes perchées : nappes souterraines libres, généralement de dimensions modestes, étagées au-dessus d'une zone non saturée.

Volume d'eau souterraine généralement à une pression supérieure à la pression atmosphérique car isolée de la surface du sol par une formation géologique imperméable. Une nappe peut présenter une partie libre et une partie captive. Les nappes captives sont souvent profondes, voire très profondes (1000 m et plus).

Volume d'eau souterraine dont la surface est libre, c'est-à-dire à la pression atmosphérique. La surface d'une nappe libre fluctue donc sans contrainte. Ces nappes sont souvent peu profondes. Par opposition aux nappes captives, les nappes phréatiques libres ne sont pas confinées par un niveau imperméable qui se trouve au-dessus d'elles.